La dépression saisonnière ou le Trouble Affectif Saisonnier (TAS)
Gardons le sourire, nous avons la solution pour l’éviter !
En effet, celle-ci très souvent commence à se manifester dès le mois d’octobre.
Nous constatons que si dès cette période on utilise des séances de luminothérapie préventives de Chromo-Luminothérapie Musicale. Nous ne souffrirons pas de ce mal.
Se protéger de la dépression saisonnière !
En effet, le premier rôle de la lumière et de la Chromo-Luminothérapie Musicale est d’avoir une action importante dans la régulation de l’horloge biologique interne.
Celle-ci à le pouvoir de contrôler plusieurs fonctions du corps suivant des rythmes très précis, comme les cycles d’éveil et de sommeil et avec la sécrétion de diverses hormones selon l’heure du jour.
Après pénétration dans la rétine, les rayons lumineux se transforment en signaux électriques. Ils sont envoyés au cerveau et agissent sur les neurotransmetteurs.
Un de ceux-ci, la sérotonine, parfois appelée « l’hormone du bonheur », régularise l’humeur et gouverne la production de la mélatonine, une autre hormone responsable des cycles éveil-sommeil.
La sécrétion de mélatonine est inhibée durant le jour et stimulée durant la nuit.
Un manque de Lumière cause des dérèglements hormonaux et peuvent être suffisamment importants pour entraîner des symptômes liés à la dépression.
La déprime de l’automne : comment lutter contre ce mal ?
Grace aux séances de Chromo-Luminothérapie Musicale, non seulement nous boostons notre moral, mais nous donnons aussi un coup de fouet à nos énergies.
La dépression saisonnière occasionne des maux multiples. Ce sont des douleurs diffuses. Envie de rester chez soi, de ne plus rencontrer des amis et donc se couper de la vie sociale.
La Chromo-Luminothérapie Musicale apporte du confort et du bien-être tant au niveau émotionnel que physique.
Se protéger de la dépression saisonnière. Pour plus de renseignements sur la dépression saisonnière, vous pouvez consulter « le tribunal de la santé »
« L’usage du logiciel L.E.M.Q lite n’exclut en aucun cas, la poursuite d’un traitement médical et la consultation chez un médecin. C’est un complément »