Luminothérapie et les Troubles du Sommeil

L’insomnie a généralement une cause sous-jacente. Parmi les causes les plus courantes d’insomnies, on retrouve souvent: l’anxiété, la dépression, le stress du travail. On note aussi des médicaments tels les décongestionnant, les antidépresseurs et certains stimulants. En effet les manifestations vont de l’ensommeillement difficile au réveil trop matinal. Ceci occasionne également fatigue et somnolence durant la journée, voire anxiété, irritabilité, perte de la concentration au travail. L’inserm nous explique scientifiquement l’impact de la lumière pour le sommeil . (L’Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine) Avec Luminothérapie les troubles du Sommeil seront plus qu’un souvenir !

Son action sur la production de la mélatonine contribue à l’adaptation aux décalages horaires. C’est ainsi,  la sécrétion de la mélatonine (produite la nuit) provoque un entraînement de la courbe de la température centrale. Celle-ci influence la qualité du sommeil. Récemment, le traitement des troubles du sommeil aussi qualifiés de dépression saisonnière prennent en compte les effets de la photothérapie . On montre  chez certains sujets, que le raccourcissement de la durée du jour en hiver provoque des troubles de l’humeur. Cependant les émissions de basses fréquences lumineuses colorées codifiées par les lois de la physique interagissent directement sur l’Hypothalamus. Il s’agit d’une petite région située au centre du cerveau, intermédiaire entre le système nerveux autonome et le système endocrinien.

L’Hypothalamus  joue une action unique dans la faim, la soif, le sommeil. La sécrétion de neuro-hormones régule la glande hypophyse, et permet la Déprogrammation-Reprogrammation de nos états physiologiques.

Il est important d’éviter les émissions photoniques trop intenses, et il est recommandé d’utiliser les 7 fractions colorées constituant la lumière blanche.

Luminothérapie et les Troubles du Sommeil

« L’usage du logiciel L.E.M.Q  lite n’exclut en aucun cas, la poursuite d’un traitement médical et la consultation chez un médecin. C’est un complément »

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